Le film "Mauvais Genre, une épidémie mondiale"

Quel intérêt de considérer que la plupart des adolescents souffrant d'une dysphorie de genre se réconcilieront avec leur sexe à l'âge adulte...

L'industrie pharmaceutique a créé des "maladies", pour vendre des remèdes. Aujourd'hui, on s'en prend au corps de la jeunesse pour la rendre dépendante d'un traitement à vie et organiser des opérations.

Le diagnostic, c'est la déclaration du jeune patient, influencé par les réseaux sociaux. La médecine ne prend plus de précautions. Spécialistes auto-déclarés ou libre exercice de sa pratique mis à mal... voilà qui fait penser à une autre épidémie - pardon "pandémie", les mots ont un Sens, même quand ils sont utilisés pour nous le faire perdre ! -.

Le phénomène s'est d'ailleurs accentué pendant le covid : "seul au monde" mais porté par communauté virtuelle en plein essor !

Quand ailleurs, on a dit "ne posez pas de questions, vaccinez", les lanceurs d'alerte pointant du doigt l'idéologie trans sont sommés de se taire, ou sont traités de "transphobes" pour écarter toute discussion, accusés de "négation de l'autre" par ceux-là même qui s'en prennent au Genre Humain !

Parallèlement à la guerre des maux - malaise social, adolescents fragiles, troubles psychiques - soi-disant réglés par le fait de se faire mutiler - se joue celle des mots, aujourd'hui portés par des images invitant à aller toujours plus loin...

L'Autre est un homme ou une femme "Spectre" signifiant "trouble", rejet de l'Altérité Sous couvert d'une nouvelle identité... Quête du "toujours plus fort" et mal-aise sociétal ont fait de la mutilation, utile solution. Jeu et parole remplacés par testostérone, "Il se tuera" si parents n'obéissent pas, Au dictât des nouvelles normes s'édifiant au mépris de La Loi.

Hier, il fallait faire son expérience pour grandir Aujourd'hui, sciences et techniques ont choisi : L'homme sera ce qu'il est en mesure de fabriquer ! Mais QUI se cache derrière les paillettes : Abus, névrose, homosexualité, ou projet du malin... De la surexposition au virtuel, appelant dopamine, A la dose d'hormones pour se libérer d'un corps, Qui semble faire pâle mine quand il souffle d'Exister, Voilà l'homme piégé par sa propre liberté "Je-même pour ressembler", "je m'aime à condition de me supprimer" ! "Mauvais genre" ou crise de foi ? Évincer Dieu, c'est mépriser l'homme a dit Benoit* Mais qui entend quand culture dégénère, Usant d'écrans pour écarter le Réel avec mauvaise foi Et abreuver jeunesse de mensonges et d'illusions.

Genre divin ignoré, s'auto-engen(d)rer, Alchimie pour transformer le plomb en or, Bistouri pour faire de l'homme un cyborg**, A l'image de QUOI, comme celui Qui face caméra se détruit ou choisir la Vie...

* Pape Benoit XVI

** Sur lien entre transidentité et transhumanisme Qui/Quoi, voir "La ruse de Dieu" Patrick Lévy